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lundi 16 août 2010

Le saumon d'elevage ou le saumon sauvage??



Merci Anonyme de m'avoir lancee dans cette recherche. J'ai appris pas mal de choses dont, entre autres...

La couleur de la chair du saumon varie fortement, du rouge vif du saumon rouge au blanc ivoire du saumon quinnat, du rose pâle du saumon rose au rouge pâle du saumon kéta.

On donne en effet dans certains elevages de la farine de viande et d'os ainsi que du sang de boeuf qui sert de liant comme nourriture aux saumons.
On peut aussi teinter la chair des saumons avec du sang de boeuf!!!
On hallucine!

LES DEUX SAUMONS : LE SAUVAGE ET LE MAL ÉLEVÉ


"Il n'y a pas si longtemps, le saumon était considéré comme un plat de luxe. Aujourd'hui, il est parmi les poissons les plus abordables, à la portée de tous les budgets. Merveilleux ! Mais il y a un mais !


Plutôt que d'aller pêcher le saumon sauvage, on l'élève et on lui donne une nourriture fabriquée par l'homme. Oh! L'envers de la médaille est que la valeur nutritionnelle de ces poissons s'en trouve modifiée et que les bienfaits de ces nouveaux saumons sont fortement controversés et ceci à l'échelle mondial

Tout comme les organismes génétiquement modifiés (OGM) qui se retrouvent à notre insu dans nos aliments, le saumon d'élevage s'est retrouvé sur les tablettes d'épiceries de façon incognito remplaçant ainsi le saumon sauvage. S'il ne s'alimente plus de façon naturelle, qu'en est-il de la quantité d'oméga-3 dans le saumon d'élevage ?


La réponse n'est pas claire. Les opinions divergent. Et que dire de tous ces contaminants, (y compris le BPC : biphénylpolychloré) qui sont présents en plus grandes quantités dans les saumons d'élevage ? En savons-nous réellement les répercussions à long terme sur notre santé ? Les études scientifiques se multiplient à travers le monde, certains experts accusent, d'autres doutent, les producteurs se défendent. Saurons-nous un jour la vérité ?

La sagesse nous enseigne de s'abstenir dans le doute. Une chose est sûre c'est que le saumon sauvage contient moins de contaminants que le saumon d'élevage. Aussi, avec le saumon sauvage vous êtes sûr d'obtenir votre part d'oméga-3. Une bonne habitude à prendre est d'enlever la peau qui peut contenir des substances toxiques. Jusqu'à preuve du contraire, il est donc préférable d'opter pour le saumon sauvage."

Soyons objectives!!! Voici aussi ce que j'ai trouve!

"Globalement, le saumon d’élevage est meilleur que le saumon sauvage, car les mers sont contaminées par divers produits. Lorsque le saumon d’élevage provient de filières contrôlées, avec un label de qualité, il ne pose pas de problèmes. Quant aux poissons traités avec des antibiotiques, il y a un délai d’abattage après traitement pour que le produit ait disparu de l’animal."

Pas facile n'est ce pas, de faire la part des choses!!!!!

Allez voir ce reportage car tres interessant! Merci Chris 84!

http://www.tsr.ch/emissions/abe/1368184-saumons-d-elevage-du-bio-dans-le-bassin.html#1368184

Vos conclusions?????

Je vous donne la mienne apres cette enquete! Mangez plutot de la sardine, du thon et du maquereau!!!! ou alors soyez bien certaine que votre saumon provient d'un elevage bio! il n'y a que 1% de la production de saumon d'elevage qui est bio!!!!


Pour une fois je n'ai meme pas envie de sourire!!!!!!
Quelle merde on bouffe quand meme!!!!!

lundi 28 avril 2014

"Comment certains poissons sont éleves dans les fermes d'aquaculture . . . .Le tilapia "

 

 
Le tilapia ( Wikipédia )

 Je viens de recevoir cette lettre d'information de "Santé Nature Innovation" qui m'a laissé sans voix. Je vous la fait partager. . . .

" Le poisson, c'est bon

Le poisson est une excellente source de protéines et certaines espèces sont très riches en oméga-3 (les poissons gras des mers froides).

Mais selon l'origine du poisson que vous achetez, vous retrouverez beaucoup de choses en plus dans votre assiette. Et ce ne sont pas que des vitamines et des nutriments.

Le public est aujourd'hui bien informé de la présence possible de mercure et de toxines dans le poisson, et comment les éviter.

Mais ce n'est qu'une partie de l'histoire. Les autorités de santé ne mettent pas en garde les populations sur la façon dont des producteurs, en Chine et dans d'autres pays asiatiques, nourrissent les poissons qu'ils envoient dans nos pays. Il s'agit du poisson qui est vendu dans votre supermarché. C'est celui que vous mangez, frais ou surgelé.

Préparez-vous à être choqué et, excusez-moi d'avance, dégoûté.

Prenons d'abord le cas de la Chine. La Chine est le premier exportateur mondial de tilapia, qui est le poisson le plus vendu sur la planète [1].

Très peu de personnes connaissent sa dénomination, qui s'applique en réalité à plusieurs poissons blancs appartenant à la famille des cichlidés. Il entre dans la composition de nombreux plats industriels à base de poisson.


« Il y a dix ans, personne n'en avait entendu parler ; maintenant, tout le monde en veut parce qu'il n'a pas un goût de poisson, surtout les hôpitaux et les écoles », explique Orlando Delgado, responsable de la société d'aquaculture Aquafinca, dans le quotidien américain New York Times [2].

Jusqu’en 2004, le saumon et la truite arc-en-ciel étaient les poissons les plus vendus au monde. Aujourd’hui, c’est le tilapia.

Des poissons nourris aux excréments

Pour une très mauvaise raison, malheureusement :


Le tilapia est un omnivore brouteur, se nourrissant donc de phytoplancton, de périphyton, de plantes aquatiques, de petits invertébrés et… de détritus.

Je n'invente rien. Vous pouvez vérifier cette information rapportée en toutes lettres sur le site Consoglobe [3].

Et devinez quel type de « détritus » les ingénieux producteurs chinois donnent à manger aux tilapias :

Des excréments.

Oui, malheureusement encore, vous avez bien lu. Et vous pouvez vérifier cette information dans l'article ci-joint du grand magazine américain Businessweek [4]. (Attention, l'article est en anglais. « Pig Feces » signifie excréments de porc).

Comment est-ce possible ?

Des Chinois, dans les fermes aquacoles, nourrissent aujourd'hui les poissons d'excréments de porcs et d'oies. Pourquoi ? Parce que c'est moins cher que la nourriture pour les poissons. Et l'industrie du poisson d'élevage devient si compétitive qu'ils sont prêts à utiliser tous les moyens pour diminuer les coûts. Sans considération pour le bien du poisson… ou le vôtre !

Les excréments d'animaux rendent les poissons malades et vulnérables aux maladies. De plus, ils contaminent les eaux. Michael Doyle, directeur du Centre de Sécurité Alimentaire à l'Université de Géorgie, explique que cette pratique n'est pas uniquement dangereuse pour les poissons, mais aussi pour les consommateurs : « Les excréments d'animaux utilisés pour nourrir les poissons sont souvent contaminés par des microbes comme la salmonelle », explique-t-il dans Businessweek [5].

Et les conditions d'élevage des crevettes et des noix de pétoncle ou de Saint-Jacques en provenance d'Asie sont en général tout aussi déplorables.

Que faire ?

Comment vous assurer de ne pas manger de poisson contaminé ?

Le plus simple bien sûr est de vivre près des côtes et d'acheter vous-même votre poisson aux personnes qui l'ont pêché en mer.

Faut-il rappeler que, il y a à peine 50 ans, personne ou presque ne consommait régulièrement du poisson frais tout en habitant à des centaines de kilomètres de la mer ??

Le seul poisson qui était traditionnellement disponible était le hareng saur, connu de temps immémoriaux, un simple hareng desséché selon divers procédés de conservation des peuples de la mer.

Or il se trouve que l'on a récemment découvert que ce poisson bon marché est riche en oméga-3, bénéfiques au cerveau et au système cardiovasculaire.

Malheureusement, son odeur puissante heurte les narines délicates de nos contemporains, dont très peu continuent à en manger. Parmi les jeunes générations, la plupart n'ont jamais mangé de hareng fumé, ne serait-ce qu'une seule fois dans leur vie.

Si vous n'habitez pas près de la mer, et si vous n'aimez pas le hareng, la seule solution vraiment sûre est de vous rendre chez votre poissonnier et d'acheter du poisson sauvage.

Mais alors, gare à la facture !

Un moindre mal est d'acheter du poisson surgelé en provenance d'Islande, d'Atlantique-Nord ou d'Alaska (évitez à tout prix le poisson d'aquaculture asiatique ou norvégien !). Préférez le poisson surgelé sous vide, plutôt que mis en vrac dans un sac plastique. Il sera plus frais et moins habité par le gel.


A votre santé ! "

Jean-Marc Dupuis" santenatureinnovation.com


Sources :

[1] le tilapia, le poisson le plus consommé au monde

[2] Another Side of Tilapia, the Perfect Factory Fish

[3] le tilapia, le poisson le plus consommé au monde

[4] Asian Seafood Raised on Pig Feces Approved for U.S. Consumers

[5] Asian Seafood Raised on Pig Feces Approved for U.S. Consumers

jeudi 9 novembre 2017

Quelle viande pour les repas PL et les repas GP !


 

Les viandes . . . 

Quelle viande choisir pour un repas GP ?

Là est la question que nous nous posons toutes et tous . . . 

Dans le dernier livre de la méthode Montignac de 2013 nous avons une réponse intéressante : 

 " Les dernières découvertes de ces dernières années permettent de mieux identifier le mécanisme de stockage des graisses . Il est plus facile de définir précisément quelle quantité et quel type de graisses peut contenir un repas GP "  

Pourquoi ce choix de viande est important dans la phase d'amaigrissement ?

La production des sécrétions digestives augmente la journée et diminue la nuit pour atteindre son niveau le plus bas vers minuit.

L’estomac se vide plus rapidement le matin que le soir. Et puisque l’organisme finit au cours de la nuit de consommer les réserves de glucides, le professeur Stoffel de l’EPF de Zurich, confirme à son tour le dicton. «Un solide petit-déjeuner est indispensable pour être productif pendant la journée».

Il est souvent conseillé un repas léger le soir, pris de préférence plusieurs heures avant le coucher, car l’estomac et les intestins mettent la nuit à profit pour se reposer.

Les experts s’en ré- jouissent car ce sont précisément les repas tardifs qui perturbent le métabolisme. 

Si les matières grasses sont mal digérées elles seront stockées 

Ce sont les raisons pour lesquelles  MM nous conseille des viandes extra maigres (< 3% de MG) ou maigres (3% de MG) pour nos repas du soir si nous souhaitons prévoir des protéines animales le soir. 


Qu'elles sont les viandes extra- maigres pour les repas GP ?


charcuterie maigre

- Blanc d’œuf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . 2 unités 

- Laitage animal à 0% . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125 g 

- Fromage allégé <6 % . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 g

- Jambon de dinde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  80 g

- Jambon blanc DD de Porc . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 g

- Viande des Grisons, Bressaola de Bœuf . . . . . 50 g 

- Escalope de dinde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .120 g

- Bacon de Porc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 g

- Roast beef de Bœuf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .130 g

- Escalope de Veau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .130 g

- Autruche (filet) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g

- Escalope, filet  de Poulet . . . . . . . . . . . . . . . . . .130 g

- filet maigre de Bœuf . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .130 g

mais aussi :

- Kangourou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .100 à 130 g 



- Poissons maigres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150 g

- Fruits de mer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 à 150 g


Qu'elles sont les viandes maigres ?



- Beef steak maigre de Bœuf . . . . . . . . . . . . . . . .130 g

- Filet maigre rôti de Porc . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g

- Faux filet grillé de Bœuf . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g

- Blanquette de veau très maigre . . . . . . . . . . . . 130 g

Mais aussi :

- Sanglier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g

- Cerf et chevreuil. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .130 g


- Saumon sauvage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g

- Saumon fumet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  60 g

- Saumon d'élevage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g 

- Poissons Gras . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g


Pour en savoir plus sur le % de MG des viandes


 - Poulpe . . . . . . . . . . . . . .  1.04 g de MG/100 g

- Carrelet . . . . . . . . . . . . . .  0.63 g de MG/100 g

- Calamar et encornet. . . . 1.38 g de MG/100 g

- Cabillaud . . . . . . . . . . . . . 0.66 g de MG/100 g

- Colin. . . . . . . . . . . . . . . . . 0.81 g de MG/100 g 

- Raie . . . . . . . . . . . . . . . . . 0.92 g de  MG/100 g 

- Sole. . . . . . . . . . . . . . . . . 1.19 g de  MG/100 g 

truite . . . . . . . . . . . . . . . . 5 g de  MG/100 g 

- Lieu jaune . . . . . . . . . . . . 0.2 g de MG/100 g 

- Bar . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.99 g de  MG/100 g 

- Saumon . . . . . . . . . . . . . . 5.9 9 de  MG/100 g


Pour d'autres poissons c'est ICI


Bon Appétit !!!

vendredi 25 mars 2011

Tout savoir sur les lipides!!!





Les lipides nous apportent différents types d’acides gras qui auront, sur notre organisme, des effets différents. Selon leurs caractéristiques chimiques, ces acides gras se classent en trois grandes familles, chacune d’entre elles nous offre des bénéfices spécifiques.

Les acides gras saturés sont présents dans les corps gras animaux, ainsi que dans certaines huiles végétales, comme l’huile de palme par exemple, qui compose un nombre élevé de produits élaborés que nous achetons et mangeons quotidiennement. Consommés en grande quantité, ils augmentent le risque cardio-vasculaire. Plus ils sont présents dans un corps gras, plus celui-ci est de consistance solide.

Les acides gras mono-insaturés se rencontrent essentiellement dans les huiles d’olive, d’arachide, de colza et dans la graisse de porc. Ils jouent un rôle dans la protection de nos artères.

Les acides gras poly-insaturés se trouvent majoritairement dans les huiles de tournesol, pépins de raisin, noix, maïs, soja, dans les oléagineux (cacahuètes, noix, lin, noisettes, amandes, pistaches), ainsi que dans les graisses de poisson.
Ces acides gras ont, eux aussi, des effets protecteurs sur notre appareil cardio-vasculaire. Ils participent à la diminution du cholestérol, du taux de triglycérides et empêchent l’agrégation des plaquettes.
Au sein de cette dernière famille, on trouve les acides gras essentiels que l'organisme ne peut pas fabriquer à lui tout seul et que l’alimentation doit lui procurer. Il existe, dans la nature, deux acides gras poly-insaturés essentiels pour l'homme : l'acide linoléique (LA) et l'acide alpha-linolénique (ALA). Ce sont les précurseurs de deux acides gras dits supérieurs, synthétisés par l'organisme, les Oméga 3 et oméga 6.

Oméga 3 & oméga 6
Ces deux acides gras sont dits « essentiels », parce qu’ils sont nécessaires au bon développement et au fonctionnement de l’organisme mais que ce dernier n’est malheureusement pas capable de les fabriquer. On a beaucoup entendu parler, ces derniers temps, des Oméga 3. Pourtant, pour comprendre leur rôle, il faut aussi s’intéresser à celui des Oméga 6. Car c’est un véritable bras de fer qui s’est installé entre les deux acides gras, mais pourtant les uns ne vont pas sans les autres…

Nos deux acides gras sont synthétisés par les végétaux. Les Oméga 6 proviennent de l’acide linoléique et les Oméga 3 de acide alpha-linolénique. On retrouve les Oméga 6 dans les graines comme le soja, le tournesol ou encore le maïs et les Oméga 3 dans les végétaux verts comme l’herbe, la luzerne ou les algues et dans certaines graines comme le lin et le colza.

Les Oméga 3

Les Oméga 3 assurent une croissance normale et interviennent dans les fonctions physiologiques de tous nos tissus. Ils occupent un rôle important dans la protection des maladies cardio-vasculaires, ils favorisent l’élasticité des artères et la fluidité du sang et participent au développement de la rétine, du cerveau et du système nerveux.


Les Oméga 6

Les Oméga 6 participent à l'élaboration des médiateurs cellulaires. Ils viennent également ajouter leur pierre sur les chantiers de développement du système nerveux, de l'équilibre cardiovasculaire, de l'immunité, de la guérison des blessures et des réactions allergiques et inflammatoires. Mais consommés en excès, ils peuvent empêcher les Oméga 3 de tenir leur rôle, notamment lors de la protection cardiovasculaire et provoquer des douleurs et des maladies inflammatoires comme l'asthme ou l'arthrite.


Des dérèglements conséquents

Depuis une quarantaine d’années, les recommandations nutritionnelles faites dans le cadre de la prévention de l’athérosclérose et des maladies cardio-vasculaires consistent à préconiser la réduction des lipides totaux et saturés et l’augmentation des lipides insaturés. Ainsi, pour des raisons essentiellement agricoles et industrielles, et à cause d’un manque de connaissances médicales en nutrition, nous avons privilégié les graisses polyinsaturées à base d’Oméga 6 aux dépens de celles qui nous procurent des Oméga 3.
La consommation en Oméga 6 a donc globalement augmenté de 250 % entre 1960 et 2000 en France, alors que la consommation d’Oméga 3 a, elle, diminué de 40 % environ. Le rapport Oméga 3 / Oméga 6 a ainsi quadruplé en 40 ans avec des apports en Oméga 6 qui atteignent le double des recommandations et des apports en Oméga 3 qui en sont deux fois inférieurs. Ce déséquilibre s’explique par une consommation accrue d’huiles végétales riches en acide linoléique (huiles de tournesol, de palme ou de maïs, par exemple) et des modifications de l’alimentation animale (avec une nourriture à base de maïs et de soja remplaçant l’herbe traditionnelle).


Le trop plein d’Oméga 6 au cœur des questions de santé publique

Aujourd’hui, de nombreuses études montrent que ces changements qualitatifs intervenus au cours des dernières décennies dans la composition en acides gras de la ration alimentaire (la nôtre, mais aussi celle des animaux d’élevage dont nous consommons les produits dérivés) sont restés bien trop longtemps ignorés et posent aujourd’hui de vrais problèmes. Une consommation excessive d’Oméga 6 favorise le développement du tissu adipeux dès la petite enfance et contribue à l’augmentation de la prévalence du surpoids et de l’obésité. Ces excès ont été associés à une augmentation des maladies inflammatoires et auto-immunes, des démences ou de certains cancers. Des données récentes montrent une augmentation du rapport Oméga 6 / Oméga 3 dans le lait maternel et dans la plupart des aliments consommés par l’enfant et l’adulte. Ces résultats laissent présager un impact à haut niveau sur les générations présentes et futures.

De l’importance de l’équilibre…

Le rapport Oméga 6 / Oméga 3 doit être inférieur à 5 pour 1.
Pour pouvoir être utilisés par l’organisme, les acides gras Oméga 6 et Oméga 3 entrent « en compétition » car ils sont métabolisés par un même type enzyme. Celui qui est apporté en excès sera immédiatement plus utilisé que l’autre. Il est donc très important qu’ils soient présents au cours du repas ou de la journée alimentaire de façon équilibrée. Nous sommes actuellement encore bien loin du compte, puisque, dans notre alimentation quotidienne, ce rapport équivaut plutôt à 15 pour 1.

Et nos assiettes dans tout ça ?

Moins d’Oméga 6
Il faut modérer les aliments trop riches en Oméga 6, en particulier les huiles de tournesol ou de maïs (qui peuvent être judicieusement remplacées par l’huile de colza, qui améliore nos apports en Oméga 3). Les Oméga 6 sont aussi présents dans les aliments industriels et dans les produits des animaux (les viandes, les œufs ou encore les produits laitiers) nourris à base de soja et de maïs et dont l’alimentation doit également être « quantitativement maîtrisée ».

Et plus d’Oméga 3.
Selon l’Afssa (l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments), les apports en Oméga 3 des Français représentent seulement un tiers des apports recommandés, alors qu’il faudrait en consommer au moins 2 grammes par jour. Les produits animaux de la filière lin (cautionnés Bleu-Blanc-Cœur) apportent davantage d’Oméga 3. Ils sont mieux équilibrés car moins riches en lipides, en graisses saturées et en acides gras Oméga 6. Substituer dans son alimentation quotidienne les produits animaux standard par des produits animaux issus de ce mode de production permet d’améliorer le profil lipidique de son alimentation tout en allant dans le sens des recommandations nutritionnelles.
Les Oméga 3 sont aussi présents dans l’huile de colza (de 1 à 1,5 grammes par cuillère à soupe), les noix (6 à 7 noix en fournissent 2 grammes, une cuillère de noix concassées de 0,5 à 0,8 grammes) ou les graines de lin cuites (comme la Linette) qui peuvent être mélangées à de nombreux plats. Les huiles de noix et de soja sont riches en Oméga 3, mais elles renferment, dans le même temps, beaucoup trop d’Oméga-6. . Il faut donc privilégier l’huile de colza et l’huile d’olive, qui est pauvre en Oméga 3, mais également dépourvue d’Oméga 6.
Il est également recommandé de consommer deux à trois portions de poisson gras par semaine. Les plus fortes teneurs en Oméga 3 se trouvent dans le maquereau, le hareng et la sardine, puis dans le thon et le saumon même si les teneurs, pour un même poisson, ont tendance à varier au fil des saisons et de son alimentation.

Nous, avec toutes nos graines et nos oléagineux, nous sommes dans la bonne fourchette!
Ils oublient, dans cet article, la graisse de canard ou d'oie!
Donc, privilégier aussi l'huile de noix!!
En conclusion, c'est bien ce que nous avons toujours dit!
Huile d'olive, huile de noix et huile de colza!!!


L’huile de colza en alimentation humaine améliore le contenu du plasma sanguin en acide alpha-linolénique et en EPA qui est un acide gras essentiel, dérivé de l’acide alpha-linolénique, aux fonctions anti-inflammatoire et anti-thrombotique. Ces résultats de biodisponibilité sont confirmés sur modèle animal : l’huile de colza est un bon vecteur d’acide alpha-linolénique.
Ses caractéristiques de teneur, distribution interne/externe et rapport oméga-6/oméga-3 sont des facteurs favorables à l’utilisation métabolique de l’acide alpha-linolénique.

L' huile de soja

Il est important de choisir une huile de qualité. Les industries agro-alimentaires essayent d'extraire un maximum d'huile à partir des grains. Pour cela ils utilisent la chaleur et des produits chimiques. Malheureusement, l'huile obtenue est dépourvue d'acides gras essentiels et les autres acides gras ont été transformés en acides gras TRANS.

Choisissez une huile qui n'a pas été chauffée et dont l'extraction n'a pas été faite avec des produits chimiques.
L'huile doit être de PREMIERE PRESSION A FROID.

Composition de l'huile de soja
Acides gras saturés
14.4 %
Acides gras monoinsaturés
23.3 %
Acide oléique
22.8 %
Acides gras polyinsaturés
57.9 %
Acide linoléique
51 %
Acide alpha linolénique
6.8 %

L'huile de soja est une huile polyinsaturées. Les acides gras polyinsaturés réduisent les taux sanguins de LDL mais aussi de HDL. Cependant ils doivent faire partie de notre alimentation puisqu'ils fournissent les acides gras indispensables : acides linoléique et alpha linolénique.

L'huile de soja contient aussi de la lécithine qui a aussi une action hypocholestérolemiante.

Les huiles riches en acides gras polyinsaturés ont plus tendance que les autres huiles à s'oxyder et à rancir. Une huile oxydée contient des radicaux libres qui sont responsables de dégâts artériels, de certains cancers, de l'inflammation, du vieillissement prématuré des cellules et des tissus. L'huile de soja doit être conservée au réfrigérateur et consommée rapidement une fois la bouteille ouverte.

Les huiles riches en acides gras polyinsaturés ne doivent pas être chauffées.

Nous recommandons de l'utiliser pour parfumer des légumes ou céréales cuits à la vapeur, elle sera donc ajoutée après cuisson. Vous pouvez aussi l'utiliser pour l'assaisonnement des crudités et de la salade.

L'huile d'olive.

Ces dernières années, les scientifiques se sont penchés sur les vertus de la diète méditerranéenne et en particulier sur l’huile d’olive. Des examens plus approfondis ont révélé que ce liquide ancestral est plus qu’une simple source de graisse monoinsaturée. Il constitue également une source abondante d’antioxydants.


Les antioxydants aident à prévenir les dommages causés aux tissus corporels par certaines molécules appelées "radicaux libres". Le corps produit ces radicaux libres parce qu’il a besoin d’oxygène et leur quantité augmente au fur et à mesure que nous vieillissons. Les radicaux libres ont été mis en cause dans les maladies cardiaques, le cancer et le vieillissement.


Bien que le corps produise ses propres antioxydants, les aliments dont nous nous nourrissons en fournissent également. L’huile tirée de ce fruit qu’est l’olive contient une large gamme d’antioxydants précieux qui ne se retrouvent pas dans les autres huiles.

L'huile de noix

De part sa teneur en acides gras en majorité poly-insaturés, l'huile de noix est recommandée en prévention contre les maladies cardiovasculaires et le cancer.
Remplacer les graisses par des noix ou de l'huile de noix car elle sont riches en oméga 3; elles contribuent donc à faire baisser le taux de tri-glycérides et le mauvais cholestérol (LDL ).Acides gras saturés : 9 g,Acides gras mono-insaturés : 17 g,Acides gras poly-insaturés : 69 g.
1,5 à 3g d'huile couvrent les besoins journaliers d'un adulte.
La noix ou l'huile de noix contient aussi des sels minéraux.
L'huile de noix ne supporte pas la cuisson et encore moins la friture!

La noix de Macadamia!

La Macadamia est reconnue pour ses propriétés énergétiques et anti-oxydantes. Elle contient 78% de gras mono-saturés qui aide à abaisser le taux de cholestérol et les risques cardiaques. Elle est riche en oméga 3 (intéressant non?) J'adore cette noix!

dimanche 27 novembre 2016

Saumon frais et saumon bio

Vous n'avez peut-etre pas vu le reportage de Thalassa sur le saumon..... Voici un article qui résume bien le reportage......

Selon une étude de 60 Millions de consommateurs, publiée jeudi 24 novembre, le saumon frais bio est plus contaminé qu'avant, contrairement aux pavés non-bio.


L'alimentation des poissons est en cause. © Shutterstock

Des traces de contamination de métaux ou de dioxines

Le saumon frais, qu'il vienne de Norvège ou d'Irlande, est moins contaminé qu'avant, mais le bio l'est davantage. C'est le curieux constat des experts du magasine 60 millions de consommateursLes saumons frais issus des filières conventionnelles étudiés ne présentaient pas de traces de métaux, de composés chimiques, de pesticides et aucun résidu de médicaments.

En revanche, les pavés de saumons bio d'élevage analysés présentaient des traces de contamination de métaux ou de dioxines, de polychlorobiphényles (composé chimique aromatique et toxique) et de pesticides. Mais ces contaminations ne dépassaient pas les limites maximales réglementaires. En clair, ces saumons bio ne représentaient pas de danger pour la santé.

Comment choisir un bon saumon ?

Mais cela étant dit, il est surprenant de constater que les poissons bio seraient plus contaminés que les saumons issus des filières conventionnelles. Selon les auteurs de cette enquête, cela s'expliquerait par l'alimentation des poissons dans les élevages. La part de farine de poisson serait en effet plus importante dans les élevages de poissons bio. Or, on ne connaît pas l'origine de cette farine, qui n'est pas spécifiquement bio, contrairement aux farines végétales.

Cette information n'est donc pas en soi alarmante, mais elle devrait faire prendre conscience aux industriels de l'importance de mieux maîtriser l'alimentation des poissons qui sont vendus comme bio. Pour reconnaître un bon saumon, 60 millions de consommateurs donne quelques conseils : veillez à ce que la couleur du saumon soit uniforme, évitez les poissons dont l'emballage indique « Ne pas recongeler », privilégiez la mention « Salage au sel sec » et ne dépassez pas deux ou trois semaines après la date de fabrication.

jeudi 24 mai 2012

A propos de la viande et du poisson


 Petit rappel à propos des viandes.

MM dit : (trouvé sur Internet)

Les graisses (lipides) sont métabolisées différemment selon la nature de leurs acides gras.

 - Les graisses saturées (viande, beurre, laitages entiers, œufs…) sont très facilement stockées car elles ne subissent aucune transformation métabolique.

 - Les graisses mono insaturées (huile d’olive, graisse d’oie, avocat) ont l’avantage de faire baisser la glycémie et ne sont pas facilement stockables car elles doivent être transformées.

 - Les graisses poly insaturées (Omega 3 des poissons, huile de canola) sont très difficilement stockables, de plus, leur métabolisation entraîne une dépense énergétique supérieure à leur contenu calorique.

Que peut on en conclure?

Quand je vois que certaines ont du mal à perdre du poids, il faudrait peut être aussi regarder la quantité de gras que vous consommez!

MM dit aux pages 129 et 130 du livre "maigrir avec la méthode Montignac pour les nuls" : (qui ne l'a pas???)

"En dehors du fait qu'il est toujours préférable de choisir du poisson plutôt que de la viande, il convient aussi de sélectionner parmi les viandes celles qui sont les moins grasses....Les volailles sont donc préférables....Le  canard de Barbarie...contient par ailleurs des graisses monoinsaturées qui, comme vous le savez, sont très bénéfiques! (viande autorisée en GP pour cette raison mais occasionnellement comme tout gras)

...La cuisson au four ou au grill est de loin la meilleure".

Et à propos du poisson :



"Tous les poissons sont les bienvenus...la meilleure sauce...jus de citron et huile d'olive."

Les poissons gras vivant en eaux froides sont riches en EPA et DHA. Ce sont principalement le saumon (surtout sauvage), le flétan, le hareng, le maquereau, les anchois et les sardines. Ces poissons contiennent environ 7 fois plus d'oméga-3 que d'oméga-6. D'autres poissons gras comme le thon sont assez riches en oméga-3 mais sont susceptibles de contenir de fortes quantités de métaux lourds et de polluants. Les fabricants de compléments en oméga-3 éliminent ces polluants par divers procédés.

Les poissons ne fabriquent pas eux-mêmes les acides gras : ils les assimilent à partir de leur nourriture, les algues (ce qui explique que les poissons d'élevage contiennent moins d'oméga-3).

Je dirai même à éviter car ces poissons sont des poisons!


Rappel pour le dîner GP.

MM écrit p 145 du livre pour les nuls :

"En option, il sera toujours possible de rajouter (si nécessaire) un poisson poché ou cuit à la vapeur, une petite omelette de blancs d’œufs à la ciboulette (cuits dans un ramequin...) ou encore du blanc de poulet ou de dinde grillé ou cuit à la vapeur..."

Sans oublier les crustacés.

Il dit bien : "en option"et "si nécessaire"

Je pense que ce sont des paramètres que nous avons tendance à oublier!

 

mercredi 17 septembre 2014

La Méthode Montignac : les nouvelles dénominations . . . de Suzy Geneviève Montignac . . .




Pendant l'été il y a eu une discussion sur la nouvelle dénomination des différents repas de la méthode Montignac . 

Voici une récapitulation des ces nouvelles données . Elles ne changent pas grand chose à notre quotidien . . .  et cela fera un rappel sur cette organisation pour nos repas . . . 


Petits rappels sur la méthode 

La méthode Montignac est un guide dans le choix des aliments et un véritable style de vie dont l'objectif principal est d'améliorer la santé, et qui a pour conséquence un amaigrissement . . . 

1 - Tous les groupes d'aliments sont présents,

2 - Les quantités sont celles qui correspondent aux besoins du métabolisme de chaque corps, pour un fonctionnement normal ,

3 - Le maximum des aliments seront choisis sous la forme brute, ayant le maximum de fibres, de micronutriments, d’antioxydants, de vitamines . . . 


Deux phases sont nécessaires,

1 -  la phase d'amaigrissement ou phase 1
2 - la phase de stabilisation ou phase 2


La phase d'amaigrissement 
- sa durée va dépendre du temps nécessaire pour atteindre son Objectif de poids 
Dès qu'il sera atteint et pour bien stabiliser il sera nécessaire de poursuivre la phase 1 pendant encore quelques semaines avant de passer en phase 2.


- La phase 1 consiste essentiellement à ne consommer que des aliments à

- Indexe glycémique bas - IG < ou = à 35 -
-  Indexe Glycémique moyen - IG < ou = 50 -
- faire un choix judicieux des graisses et des protéines  

L'objectif de cette phase est d'induire à la fin du repas une réponse insulinique qui soit la plus basse possible. 

Ainsi on supprime toute possibilité de stockage des graisses (lipogenèse) mais aussi on  provoque toute possibilité de déstockage des graisses de réserve qui sont brulées (lipolyse)


Les 2 types de repas de la phase 1 



- le repas Glucido- protidique ou  GP: avec des aliments glucidiques à IG < ou = à 50 et les graisses très limitées

- le repas Protide - lipide ou PL: avec des aliments à IG < ou = à 35 et les graisses sont admises en quantité normale 

- Le repas GP ou PL léger avec des aliments à IG < ou = à 35 et les graisses sont très limitées à absentes .


Les Nouveautés


La nouvelle dénomination des repas :



- Le repas M Glucidique ancien repas GP

- le repas M Gourmand ancien repas PL

- le repas M léger ancien repas GP ou PL à IG < ou = à 35  



Le repas GP  ou M Glucide  et les Matières grasses


La composition d'un repas GP ou M Glucide est toujours la même :

  
-  Glucides dont l'IG le plus élevé est compris entre 0 et 50

-  Protéines très maigres  ou extra maigres (la plupart des protéines animales ont des graisses dites cachées) 

-  Lipides  Huiles végétales en quantité très limitée < à 1 c à  s,


Choisir des matières grasses  comportant des acides gras monoinsaturés ou / et oméga 3 si les protéines qui composent le repas sont extra maigres 


Les graisses végétales provenant de fruits oléagineux ( 6 à 7 oléagineux) ou des fruits à dominante lipidique ( 1/2 avocat) mais seulement avec des protéines extra maigres et aucune autre matière grasse 


Mais l'idéal pour un repas GP, il  ne doit contenir aucune Matière Grasse. 
Dans la réalité, même une viande extra maigre contient une part de matière grasse.

Mais ne pas oublier que :
- Les graisses saturées sont prioritairement stokées

- les graisses mono insaturées comme les huiles d'olives, de colza, amandes, avocats, . . . sont difficilement stockables. 
Elles ont d'ailleurs l'avantage de faire diminuer la glycémie et la réponse insulinique 

- les graisses polyinsaturées, surtout les oméga 3 comme les poissons gras, l'huile de colza, de noix, de germes de blé, de lin, de chanvre, . . . sont quasiment instockables 
Il a même été démontré qu'une alimentation riche en oméga 3 pouvait constituer un 
facteur supplémentaire de perte de poids 


En conclusion nous pouvons dire :

- Dans la totalité du repas GP, la quantité de Matière grasse ne devrait 
PAS  DEPASSER 5 g (extra maigre) avec une tolérance de 10 g ( maigre )


- les graisses saturées ne devront pas excéder 3 gr pour l'ensemble du repas.

- 1 Cuillerée à soupe de mono insaturée ou / oméga 3 est autorisée SI les protéines qui composent le repas sont extra maigres 


Remarque: 

Les quantités sont données pour avoir une référence sur ce qu'est une portion normale ou usuelle


Protéines extra maigres et leur portions usuelles :
- Blancs d'œufs . . . . . . . . . . . . . . 2 unités,
- Laitage à 0% . . . . . . . . . . . . . . . . . .  125 g,
- Fromage allégé < à 6 % . . . . . . . . . . 50 g,
- Poissons maigres . . . . . . . . . . . . .  150 g,
- Fruits de mer . . . . . . . . . . . . . . 80 à 150 g,
- Dinde (jambon ) . . . . . . . . . . . . . . . . .  80 g,
- Porc ( jambon cuit , découenné) .. . 80 g,
- Bœuf (viande des Grison) . . . . . . . . 50 g,
- Dinde (escalope) . . . . . . . . . . . . . . . . 120 g,
- Porc (bacon) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 g 
- Veau  (escalope). . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g
- Bœuf (roast beef). . . . . . . . . . . .  . . . 130 g,
- Autruche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130g, 
- Poulet (filet) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 g,
- Bœuf (filet maigre) . . . . . . . . . . . . . 130 g, 

Les Protéines maigres et leur portions usuelles:
- Saumon sauvage . . . . . . . .  130 g,
- Bœuf (beefsteak maigre). . .130 g,
- Saumon fumé . . . . . . . . . .. . . . 60 g,
- Porc (filet maigre) . . . . . . . . . 130 g,
- Bœuf (faux filet grillé) . . . . . 130 g,
- Veau blanquette . . . . . . . . . . .130 g,
- Saumon élevage . . . . . . . . . . .130g,
- poissons gras en général . . .130g,

Quand prendre un repas GP ou M Glucide ?

- Idéalement le repas GP est le petit déjeuner 
- Il est possible de prendre un repas GP le soir pour le diner 3 à 4 fois par semaine 

 Il est composé de :

- glucides à IG Bas et moyens tels que les légumes, les fruits, de crudités, 
les céréales ou légumineuses,
- de protéines extra maigres, ou maigres,
- limiter au maximum la matière grasse.

Ce qui fait sur la journée :

- 1 petit déjeuner GP ou M Glucide,
- 1 déjeuner PL ou M Gourmand
- 1 diner GP ou M Glucide il peut être aussi M Léger ou GP léger, ou PL léger 


Quand prendre un repas PL ou M Gourmand ?
- Idéalement  le repas PL ou M Gourmand est  le déjeuner  de midi - Il est possible de prendre un repas PL ou M gourmand le matin pour le petit déjeuner , 1 à 2 fois par semaine ( saumon fumé, œuf au plat, à la coque, fromage à pâte dure 


Il est composé de :

- 1 Entrée, idéalement, des crudités,
- 1 Plat principal composé d'une viandes, poissons, œufs,
- 1 accompagnement qui sera des légumes, des légumineuses, céréales à IG bas (< ou = à 35 
- 1 dessert qui sera du fromage, fruits, laitage, (dessert à IG < ou = à 35 )



Quand prendre un repas M Léger ou PG/PL léger ?
- Idéalement le repas du soir 

- C'est un repas léger et faible en graisse qui évitera la mise en réserve . . . 
- c'est un repas digeste puisque les protéines animales et les graisses sont limitées, 


Mais on peut remplacer les autres types de repas par des repas M Léger ou GP/PL léger, dans les cas suivants :

1/ Pour attraper des écarts
2/ en cas fort résistance à l’amaigrissement


Dans  d’autre situation on conservera les 3 types de repas pour bon équilibre alimentaire.



J'espère que vous aurez là des informations 
plus pratiques et plus claires . . .